Et ceux qui sont en haut voudraient redescendre, et ceux qui sont en bas lèvent la tête en s'écriant « Mon Dieu, mais qu'est ce que je fais là ? ». Et entre les deux, il y aura toujours ceux qui se battent, quand même, même sans vraiment trouver leur place.
Comme hermétique au monde qui m'entoure, qui ne fait que me cerner sans plonger en mon âme. « Dans mon monde ». Voilà ce qu'on m'a dit aujourd'hui, l'air de rien.
Et il y aura ceux qui ne veulent plus vivre, et puis il y aura ceux qui s'accommoderont avec ce qu'ils ont. Et moi désormais c'est à toi que je veux m'accommoder. Te faire pénétrer dans mon Monde l'air de rien, sans vieux réflexes, sans laisser ces voix me dire « Tire toi tant qu'il en est encore temps ». C'est les ruines de nos espérances d'avant que je voudrais reconstruire. C'est mon amour que je voudrais bâtir. C'est drôle comme tout semble paisible quand je te parle. C'est drôle comme même les orages du passé ne grondent plus avec tes mots simples que tu me glisses. Simplement tes mots, plus souvent, et peut-être trouverais-je ce qui me fait défaut ? Tu es le seul en qui j'ai confiance, et je veux croire que c'est plus fort que ce que je voulais bien me faire croire jusqu'à présent. Quelques mots griffonnés ici et là, quelques brouillons, ébauches avant de te faire parvenir mon espoir du moment. Ce que j'écris n'est pas fluide, limpide, et pourtant je voudrais tant trouver les bons mots pour te dire à toi, rien qu'à toi ; j'ai besoin de toi.
Et il y aura ceux qui ne veulent plus vivre, et puis il y aura ceux qui s'accommoderont avec ce qu'ils ont. Et moi désormais c'est à toi que je veux m'accommoder. Te faire pénétrer dans mon Monde l'air de rien, sans vieux réflexes, sans laisser ces voix me dire « Tire toi tant qu'il en est encore temps ». C'est les ruines de nos espérances d'avant que je voudrais reconstruire. C'est mon amour que je voudrais bâtir. C'est drôle comme tout semble paisible quand je te parle. C'est drôle comme même les orages du passé ne grondent plus avec tes mots simples que tu me glisses. Simplement tes mots, plus souvent, et peut-être trouverais-je ce qui me fait défaut ? Tu es le seul en qui j'ai confiance, et je veux croire que c'est plus fort que ce que je voulais bien me faire croire jusqu'à présent. Quelques mots griffonnés ici et là, quelques brouillons, ébauches avant de te faire parvenir mon espoir du moment. Ce que j'écris n'est pas fluide, limpide, et pourtant je voudrais tant trouver les bons mots pour te dire à toi, rien qu'à toi ; j'ai besoin de toi.